Chelsea a été l'un des clubs les plus actifs lors de la fenêtre de transfert de janvier qui vient de s'achever et a obtenu la signature du milieu de terrain argentin Enzo Fernandez en provenance de Benfica pour une somme avoisinant les 121 millions d'euros.

Le milieu de terrain marocain Amrabat fait partie des nombreux joueurs de haut niveau qui ont suscité l'intérêt des grands clubs le jour de la date limite des transferts. Mais, les Blues ont vu leur offre de dernière minute rejetée.

Selon le Daily Mail, la Fiorentina a refusé de céder le milieu de terrain Sofyan Amrabat en prêt à Chelsea, qui a récemment choqué José Mourinho, entraineur de la Roma.

Rappelons que Amrabat a été l'un des milieux de terrain les plus performants lors de la Coupe du monde au Qatar, aidant le Maroc à devenir la première nation africaine à atteindre les demi-finales du tournoi.

Louper Amrabat, un échec pour Boehly et son équipe

Le Barça avait lui aussi des vues sur Amrabat, selon Fabrizio Romano, car ils avaient étudié la possibilité de se faire prêter le milieu de terrain pour le reste de la saison et d'activer ensuite une option d'achat. Mais Chelsea s'est lui aussi retrouvé le bec dans l'eau. En effet, il semble que Todd Boehly ait essayé de faire signer Sofyan Amrabat, le milieu de terrain de la Fiorentina, le jour de la date limite, tandis que d'autres membres du conseil d'administration de Chelsea négociaient l'achat d'Enzo Fernandez.

Cependant, la Fiorentina, a insisté sur sa décision de garder le milieu de terrain.

La Fiorentina a jugé que l’offre était "impossible à accepter", surtout à quelques heures de la fermeture de la fenêtre des transferts.

La Viola pas impressionnée par le nouveau dirigeant des Blues

Pendant que Behdad Eghbali peaufinait la structure de l'accord pour recruter Enzo Fernandez de Benfica, Boehly a décidé de donner suite personnellement à un e-mail qu'un membre de l'équipe de recrutement du club avait envoyé à la Fiorentina. Compte tenu du manque de temps pour trouver un suppléant et de l'importance d'Amrabat, le club italien a, sans surprise, informé l'homme d'affaires américain qu'un accord ne serait pas possible.

Le club de Florence a demandé une somme à huit chiffres, ce que Boehly a jugé "déraisonnable", préférant un prêt. Un dirigeant de la Fiorentina a répondu en interrogeant Boehly sur "comment il se sentirait si un autre club se présentait le dernier jour de la fenêtre de transfert et essayait de dérober l'un des atouts les plus précieux de son club à un prix bas". L'appel et les négociations entre les deux parties se sont ensuite terminés brutalement.